Les soft-skills constituent minimum 2/3 des facteurs de succès
Le Taylorisme a connu sa splendeur, il y a un siècle (Ford T, …) par la ‘mécanisation’ des tâches.
Ensuite K. Lewin (MIT – 1944) a posé les bases du Leadership ; montrant la voie à Mc Gregor vers The Human Side Of Enterprise (1960). Une préoccupation exclusivement sur les tâches devenait insuffisante pour assurer la réussite. A partir de 1967, P. Hersey & K. Blanchard ont proposé le Leadership Situationnel. Encore une avancée pragmatique, une ouverture de l’esprit.
Parallèlement, dans les années 1950, E. Berne révolutionne l’approche des relations humaines par les concepts d’Analyse Transactionnelle (Iceberg, modèle P-A-E, 4 positions de vie). Ses apôtres complèteront ces fondamentaux incontournables.
– S. Karpman (1968) éveille aux dangers du triangle dramatique.
– T. Kahler développe la pertinence de la Process Communication.
– D. Goleman apporte éclairage sur l’intelligence émotionnelle (1990-95).
Concomitamment, Grinder & Bandler développent la Programmation Neuro-Linguistique ; largement répandue par Robert Dilts, sur tous les continents, jusqu’à aujourd’hui.
Donc les outils puissants ne manquent pas. A la fois pour prendre conscience de l’importance des soft-skills ; et pour améliorer notre savoir-faire et notre savoir-être.
La conclusion suivante (Harvard Business School, MIT, McGill-Montréal, …) incite à investir davantage d’attention dans ces outils miraculeux.
2/3 des facteurs de succès reposent sur les soft-skills.
La proportion grandit encore, lorsque la dynamique humaine est confrontée à des processus de changement.
Pour s’ouvrir au monde des soft-skills, l’apprentissage repose sur l’ouverture d’esprit.
Cet apprentissage débute par 50% de prise de conscience ; et se complète par 50% d’ ‘attention’, au fil d’une vie.
La prise de conscience est l’étape décisive qui ouvre la porte vers la puissance des soft-skills.
Parfois, cette porte est difficile à ouvrir.